​La presse ne s'y est pas trompé !

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DONA ZUBIRI  : 
"Ils voulaient me brûler comme hérétique. Bon.

J’ai fui, n’ayant nul goût à devenir charbon !"

"Monstre d’humanité, Victor Hugo a toujours accordé aux miséreux et aux déshérités une sympathie à la fois généreuse et gourmande. Ces Gueux que nous proposent Luciano Travaglino et les comédiens de La Girandole datent de 1874, après le retour d’exil. Une suite de saynètes picaresques où Hugo exprime sa révolte devant l’injustice et sa foi dans la liberté de l’homme." Journal Le Monde

GOLBORNOS :

"J’ai tel que vous me voyez, passé toute la nuit

À fouiller, le cœur plein de projets pacifiques,

Les poches de quatorze ivrognes magnifiques.

J’ai trouvé quatre sous. Ma foi ! J’espérais mieux."

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"Luciano Travaglino a su éviter la cascade de numéros d'acteurs, peut-être parce qu'il est avant tout un metteur en scène généreux, racontant avec ses complices une histoire pleine d'humanité. Face à ces bateleurs géniaux, nous retrouvons les regards émerveillés de l'enfance. Bravo les gueux !" Pierre Biro

GROUILLARDE :

"Un peu d’amour, voilà le vrai fond de la vie.
Tout est là. Tout le reste est ombre et fausse envie !"